Le samedi 4 novembre, nous aurons l'honneur d'accueillir MICHEL VIAU dans le cadre d'une séance de dédicaces!
Auteur de "HAVANA CONNECTION" (Glénat), il est également à l'origine de "BDQ" (T.1 & 2, Station T), des ouvrages qui mettent en lumière l'histoire de la bande dessinée au Québec.
Son plus récent titre à paraître est "MacGuffin & Alan Smithee T.5 : Swinging London", attendu en librairie le 6 novembre!
Serez-vous des nôtres?
MICHEL VIAU | Michel Viau habite Sherbrooke, au Québec. Passionné par le neuvième art, il est devenu la mémoire vivante de la bande dessinée québécoise en écrivant plusieurs ouvrages sur le sujet. Chargé de cours à l’Université du Québec en Outaouais où il anime l’atelier de scénarisation, il a également enseigné l’écriture humoristique pour l’imprimé à l’École nationale de l’humour. Depuis 2001, il travaille aussi dans le domaine de l’édition. Il a été rédacteur en chef de la revue d’humour Safarir, directeur des collections de bandes dessinées aux 400 coups et éditeur de quelques projets pour Glénat Québec et Station T.
Outre la bande dessinée, Michel Viau s’intéresse à l’Histoire et c’est souvent dans celle-ci qu’il trouve l’inspiration pour ses scénarios. Ah oui… chaque jour, il commence sa journée en lisant une bande dessinée dans son bain au grand désespoir de son éditeur qui attend qu’il se mette enfin au travail.
HAVANA CONNECTION | CUBA, 1956. Fulgencio Batista, dictateur violent et corrompu, a peu à peu livré La Havane à la mafia américaine qui y a établi hôtels, cabarets et casinos. Chaque jour, les touristes y affluent pour dépenser des fortunes dans le jeu, le sexe et la drogue… Mais, dans la population, la révolte gronde. Les attentats se multiplient. Le jeune avocat Fidel Castro est devenu le leader des forces révolutionnaires. Lucien Rivard, trafiquant de drogue lié à la French Connection, débarque de Montréal à ce moment dans la capitale cubaine. Sous le couvert de la gestion d’un cabaret, il doit trouver, à la demande de la mafia new-yorkaise, de nouvelles voies d’accès pour écouler l’héroïne marseillaise vers les grandes villes d’Amérique. Mais ce mafieux québécois est également marchand d’armes, et les Barbudos de Fidel Castro, réfugiés dans la montagne, en ont désespérément besoin…